> La régression spontanée : c’est le cas pour la majorité des KA, les chiffres variant de 25,9 à 76 % à 12 mois.[2]
>La stabilisation : il s’agit dans ce cas plus d’une gêne esthétique qu’une gêne médicale.
> L’évolution en cancer épidermoïde : le risque de progression varie de 0,025 % à 16 % par an.[5]
Cette évolution est marquée par certains critères cliniques : KA hyperplasiques, inflammatoires, douloureuses et rebelles aux traitements usuels.
> Personnes à peau claire ;
> Nombreuses KA ;
> Patients immunodéprimés tels que les transplantés d’organes;
> Personnes ayant déjà eu un cancer cutané.